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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 11:23



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Ecrire!...
Tracer des signes cabalistiques afin de convertir les drames en élans vitaux, la souffrance en énergie positive.

Ecrire?...
Tenter d'effacer les ténèbres de rage par le biais de l'humour, histoire de faire un pied-de-nez au destin.

Ecrire?...
Envie irrépressible de secouer les gens tout en les faisant rêver... Une gageure?

Ecrire!...
Crever les bulles de l'extrême pudeur, du besoin de silence qui tranche avec cette réputation d'extravertie.

Marilou gingimbre



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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 12:34







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J'ai filé une chanson senteur d'ambre
Sertie d'arabesques d'ombres odeur de jasmin
Tendre appel d'un songe arc en ciel


J'ai remonté le cours d'un ruiseau de lait serein
Printemps du jardin de l'enfance
Idéal régénéré qui reverdit

J'ai arpenté l'enfer absence de son regard
Mes yeux chantent la nostalgie
Neiges qui fondent en mon coeur tam tam


Marilou Gingimbre
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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 11:24






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L'Oiseau est triste
Passion de Mort et de Lumière
Il me fallait mourir de la tristesse du Chant
Feu d'espoir, d'Amour
Dans le silence sacré de la nuit.

Le Chant de l'Oiseau est triste
Est ce la Voix qui remonte du fond des âges?
A perte de vue, profusion de promesses
Douces mains tendues, soleil boule de feu,
Et moi qui attends, pour ressusciter la joie.

L'Oiseau est triste
Son Chant rythme la sève de mon coeur
Splendeur d'émotion et de douleur
Entends tu la voix des anges aux ailes diaphanes ?
Je veux assoupir ta tristesse Oiseau cendré
Et bercer ton Amour qui pousse dans le silence de l'hiver...



Marilou Gingimbre
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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 13:04






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Jeunesse

Jeunesse qui t'élances

Dans le fatras des mondes

Ne te défais pas à chaque ombre

Ne te courbe pas sous chaque fardeau

Que tes larmes irriguent

Plutôt qu'elles ne te rongent

Garde-toi des mots qui se dégradent

Garde-toi du feu qui pâlit

Ne laisse pas découdre tes songes

Ni réduire ton regard

Jeunesse entends-moi

Tu ne rêves pas en vain.



Andrée Chedid (texte "Tant de corps et tant d'âme", dans le recueil "Poèmes pour un texte 1970-1991", éditions Flammarion, 1991)






" Avancer, reprendre joie, défier l'obstacle, peut être le vaincre puis aller de nouveau; tels sont les possibles."
Andrée Chédid

Femme de Lettres, poétesse, romancière, nouvelliste, dramaturge, elle excelle dans plusieurs genres... A travers ses oeuvres, on note un perpétiel questionnement sur la condition humaine, les liens entre l'homme et le monde mais aussi une célébration de la vie tout en ayant conscience de sa précarité. Elle décrie aussi la guerre ( celle du Liban). Marquée par son multiculturalisme, elle prône une acceptation par tous de l'altérité. Sa poésie est à la fois chant et assertion de son identité.

Andrée ne milite pas pour une écriture spécifiquement féminine: " J'écris depuis longtemps et je ne pars pas de l'a-priori que je suis une femme".



Bibliographie



Poèmes
Depuis 1969

· Rythmes, Gallimard, 2003

· Lettres à la jeunesse, dix poètes parlent de l'espoir, co-édition Librio / Le Printemps des

poètes, 2003

· Territoires du souffle, éditions Flammarion, 1999

· Par-delà les mots, Flammarion, Paris, 1995

· La grammaire en fête, éditions Père Castor Flammarion, 1993

· Poèmes pour un texte, éditions Flammarion, Paris, 1991

· Textes pour un poème, éditions Flammarion, Paris, 1987.

· Cavernes et Soleils, éditions Flammarion, Paris, 1979.

· Fraternité de la parole, éditions Flammarion, Paris, 1975.

· Fêtes et Lubies, éditions Flammarion, Paris, 1973.

· L’Autre, roman, éditions Flammarion, 1969

· Poèmes illustrés depuis 1990

· Le Souffle des choses Ill. Michèle Moreau, éd. Fata Morgana, 2000

· Guerres IllErik Bersou, éd. Gravos Press, 1999

· Automne Ill Jacques Chauzel, éd. A travers, 1998

· Origines Ill Jacques Chauzel, éd. A travers, 1997

· Le Jardin perdu : texte de Chedid et calligraphie de Hassan Massoudy, éd. Alternatives,

1997

· Sept, sept textes de Chedid et sept gravures d'Erik Bersou, éd. Gravos Press, 1996

· Géricault & Andrée Chedid, éd. Flohic, 1992 - seconde version : Dans le soleil du père éd.

Flohic, 1996

· Petit horoscope pour rire Ill Jacques Chauzel, éd. A travers, 1995

· A Travers Ill Jacques Chauzel, A travers, 1994

· Territoires du silence Ill Novoa, éd. La Chouette Diurne, 1994

· Reflets Ill Jacques Chauzel, éd. A travers, 1994

· Les Métamorphoses de Batine Ill Solveg Crévelier, éd. Flammarion, 1994

· Le Grain nu Ill Marc Pessin, éd. Le Verbe et l'empreinte, 1994

· Etats de l'image, du souffle et des mots Ill Javier Vilato, éd. Fata Morgana, 1993

· Marées Ill Vilato, éd. La Fenêtre, 1992

· Les saisons de passage Ill Michel Lablais, éd. Gallerie Simoncini, 1992

· Poèmes, éd. Bimoncini, 1991

· Au vif des vivants Ill Marc Pessin, éd. Le Verbe et l'empreinte, 1991

 

 



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18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 12:26





Texte envoyé par mon ami Oumar BA _ Inspecteur de l'éducation_Projet qualité _ Ministère de l'Education Nationale.
Merci Oumar...




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Antonio Machado _ Poète Espagnol né le 26 Juillet 1875 et mort le 22 Fev. 1939



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Jamais je n'ai cherché la gloire

Ni voulu dans la mémoire

des hommes

Laisser mes chansons

Mais j'aime les mondes subtiles

Aériens et délicats

Comme des bulles de savon.

 

J'aime les voir s'envoler,

Se colorer de soleil et de pourpre,

Voler sous le ciel bleu, subitement trembler,

Puis éclater.

 

A demander ce que tu sais

Tu ne dois pas perdre ton temps

Et à des questions sans réponse

Qui donc pourrait te répondre?

 

Chantez en coeur avec moi:

Savoir? Nous ne savons rien

Venus d'une mer de mystère

Vers une mer inconnue nous allons

Et entre les deux mystères

Règne la grave énigme

Une clef inconnue ferme les trois coffres

Le savant n'enseigne rien, lumière n'éclaire pas

Que disent les mots?

Et que dit l'eau du rocher?

 

Voyageur, le chemin

C'est les traces de tes pas

C'est tout; voyageur,

il n'y a pas de chemin,

Le chemin se fait en marchant

Le chemin se fait en marchant

Et quand tu regardes en arrière

Tu vois le sentier que jamais

Tu ne dois à nouveau fouler

Voyageur! Il n'y a pas de chemins

Rien que des sillages sur la mer.

 

Tout passe et tout demeure

Mais notre affaire est de passer

De passer en traçant

Des chemins

Des chemins sur la mer

 

Antonio Machado



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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 18:20











IKA nous propose quelques poèmes...





LA VIE EST UN SPORT DE CONTACT



La vie est un sport de contact

 un choc permanent

Contact avec nous même

Contact avec le réel

Contact avec nos proches

Contact avec les autres

Choc des libertés

Choc de la réalité

Choc de la vie en communauté

Choc de l’indifférence

Permanence de bonheur

Permanence de malheur

Permanence de la bataille

Permanence du recommencement



 









PARTIR








Partir pour fuir

Partir sans revenir

Partir pour ne plus subir

 

Partir pour s’oublier

Partir vers de nouvelles idées

Partir vers d’autres contrées

 

Partir pour avoir le choix

Partir pour se laisser derrière soi

Partir à la rencontre d’un nouveau moi

 

Partir sans détours

Partir pour toujours

Partir sans coup d’œil aux alentours

 

Partir et oublier ses erreurs

Pour et oublier sa rancœur

Partir ailleurs

 

Partir et effacer ses précédents

Partir sans larmes se déversant

Partir vers un monde inexistant

 

Partir vers un chemin plus éclairé

Partir vers sa place réservée

Partir vers mon devenir espéré




 

 

 

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10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 19:35






Xarnu bi est un poème légendaire composé par Cheikh Moussa Ka, la figure la plus éminente et la plus représentative de la littérature classique wolof, par ailleurs disciple et parent de Cheikh A. Bamba.
A travers cette émouvante élégie, Moussa Ka nous fait une description assez saisissante des affres de la crise des années 30 dans les colonies et au Sénégal, qu'il lie symboliquement à la disparition récente  de Cheikh A. Bamba (1927) .

 



















 































 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 











SERIGNE MOUSSA KA _ 1927







Poésies profanes






Jigéén ji

Ci teen bii

 

Laa la jëmé

Kaay deglu

Sa baat mu awu

 

Su li hoot nee selaw

Muur lëndëm fu sore

Danaa la wommat

 

Hamnaa heru geej

Wu gill dul wacc

 

Soo tooge ma toog

Daanu dëj callweer.




SERIGNE MOUSSA KA
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10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 15:03





 Remise des insignes... aux "Bleus"...

Bienvenue chez les Enfants de Troupe


Joyeux anniversaire



Tu as 14 ans aujourd’hui

Comme le temps passe vite !

Don de Dieu qui illumine ma vie

Je suis fière de l’adolescent que tu es devenu

En ce jour mon Grand

Je te serre dans mes bras avec beaucoup d’émotion

Et te souhaite un joyeux anniversaire….



                         Maman qui t'aime très fort







 

PRIERE DE L’ ENFANT DE TROUPE

 

Mon Dieu, mon Dieu

Donnez-moi la gloire,

Donnez-moi la souffrance

Donnez-moi l’esprit de sacrifice.

 

 

Tout ce que répugnent les uns et les autres

J’accepte tout cela,

Oui, tout cela

Je ne veux point de repos ni de récompense

Pour fuir

Tout ce que les uns et les autres me demandent

Mais mon Dieu

Donnez-moi

Foi, force, courage

Afin que je puisse m’instruire pour mieux servir.

Oh ! Mon Dieu

Faites qu’au prix de dures épreuves

Au sortir de ce prestigieux moule

Qu’est le Prytanée Militaire

L’enfant de troupe de tout horizon

Soit prêt à servir sa patrie

Dans l’efficacité, l’honneur et la discipline.

 

 



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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 20:01






Son œuvre poétique intégrale comprend :

Chants d’ombre

Hosties noires

Ethiopiques

Nocturnes

Poèmes perdus

 





PRINTEMPS

(in Poèmes perdus)

 

Des nuages s’étirent, s’étirent irréels

Entre les branches noires, entrelacés.

Tout l’hiver devant ma fenêtre qui s’en va

Et la danse de lumière sur les crêtes lointaines.

Cet oiseau jamais aperçu !

Et le printemps et mon amour.

Mes yeux qui s’éclairent, mes lèvres qui éclosent

Mon corps…



Il fait très doux et très clair

Le monde est calme autour, en tendresse.

Oh ! Un moment, rien qu’un moment de calme pour

Toute souffrance,

Car Dossie pleure les cris matinaux de ses enfants.

Du monde, je ne vois qu’un rectangle bleu

Strié de noir luisant



Les branches tendent leurs bourgeons au soleil,

Lèvres ouvertes, lèvres offertes,

Je n’entends que le chant de l’ami inconnu

Le pas monotone d’un pion

Et mon amour qui pousse dans le silence

Du printemps.

 

     LEOPOLD SEDAR SENGHOR



LEOPOLD ET LA DOUCE COLETTE


JOAL

Joal!
Je me rappelle.
Je me rappelle les signares à l'ombre verte des vérandas
Les signares aux yeux surréels comme un clair de lune sur la grève.
 
Je me rappelle les fastes du Couchant
Où Koumba N'Dofène voulait faire tailler son manteau royal.
 
Je me rappelle les festins funèbres fumant du sang des troupeaux égorgés.
 
Du bruit des querelles, des rhapsodies des griots.
Je me rappelle les voix païennes rythmant le Tantum Ergo,
Et les processions et les palmes et les arcs de triomphe.
 
Je me rappelle la danse des filles nubiles
Les chœurs de lutte - oh! la danse finale des jeunes hommes, buste
 
Penché élancé, et le pur cri d'amour des femmes - Kor Siga!
 
Je me rappelle, je me rappelle...
Ma tête rythmant
Quelle marche lasse le long des jours d'Europe où parfois
Apparaît un jazz orphelin qui sanglote, sanglote, sanglote.
 
           Poèmes.© Seuil, 1964


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9 juin 2009 2 09 /06 /juin /2009 18:58

 






J’habite une blessure sacrée

J’habite des ancêtres imaginaires

J’habite un vouloir obscur

J’habite un long silence

J’habite une soif irrémédiable

 

 

 

J’habite de temps en temps une de mes plaies

Chaque minute je change d’appartement

Et toute paix m’effraie

 

 J’habite donc une vaste pensée

Mais le plus souvent je préfère me confiner

Dans la plus petite de mes idées

 

 

Moi, Luminaire





Partir.
Comme il y a des hommes-hyènes et des hommes-
panthères, je serais un homme-juif
un homme-cafre
un homme-hindou-de-Calcutta
un homme-de-Harlem-qui-ne-vote-pas

l'homme-famine, l'homme-insulte, l'homme-torture
on pouvait à n'importe quel moment le saisir le rouer
de coups, le tuer - parfaitement le tuer - sans avoir
de compte à rendre à personne sans avoir d'excuses à présenter à personne
un homme-juif
un homme-pogrom
un chiot
un mendigot

mais est-ce qu'on tue le Remords, beau comme la
face de stupeur d'une dame anglaise qui trouverait
dans sa soupière un crâne de Hottentot?

 

  •  

     

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Présentation

  • : le blog de marie louise sock
  • : Des articles, des commentaires, des contributions, des extraits, de la poésie, des interviews d'auteurs en vue ou originaux dans leur démarche.
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J 'ai reçu plusieurs questions oncernant les statistiques et la visibilité du site.  Je consens donc à faire un compte rendu quotidien et en profite pour remercier du fond du coeur tous mes lecteurs et ceux qui, par leurs contributions et commentaires publiés ou pas, m'aident à me corriger et à en améliorer le profil.

Il a été Créé le 15 Novembre 2008 ... A ce jour, 07 Mars 2013, il y a eu:
_  48 349 pages lues
28743  visiteurs ... pour 119 articles  et 41 commentaires publiés..


Merci à vous tous ...

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Mme Marie Louise SOCK vous annonce l'ouverture du blog consacré à ses activités professionnelles. Le Cabinet de consultance LES LAURIERS  est une structure qui intervient dans le volet EDUCATION.

Pour en savoir plus, saisir Mme SOCK sur le moteur de recherche google ou


CLIQUER ICI SVP 

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AGENDA



 

 

L'ASSOCIATION DES AMIS DE LA NATURE DE L'UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR ORGANISE UNE JOURNEE DE L'ENVIRONNEMENT LE MERCREDI 08 JUIN A L'UCAD.

 

PROGRAMME:

- EXPOSITION SUR L'OEUVRE DE MICHEL ADANSON

- CONFERENCE SUR LE THEME: LES PLANTES MEDICINALES, MYTHES, CROYANCES, VERTUS ET MEFAITS.

 

 

 

 

 

L'harmonie et la beauté d'un jardin résident dans la diversité de ses fleurs, couleurs et parfums. De la sorte, la beauté de l'humanité réside dans la diversité de ses peuples, de ses couleurs, de ses langues. Telle est la vision des artisans de la paix, pour qui les différences sont une nécessité de vie.


Cheikh Abdoulaye DIEYE ( International Sufi School)






Love will be a colour
Behind a small door
When heart knocks your soul
In love you may fall

Busard























" Si la poésie n'a pas bouleversé notre vie, c'est qu'elle ne nous est rien. Apaisante et traumatisante, elle doit marquer son signe; autrement, nous n'en avons connu que l'imposture."
Andrée Chédid





' Ecrire, c'est très dur, avec de grandes fenêtres de joie "
Andrée Chédid









" ALLER ME SUFFIT "
René CHAR






Sortie le 5 novembre du dernier livre de Dominique de Villepin: "Le dernier témoin", publié chez Plon.


Né d’une conversation de l’auteur avec le cinéaste Luc Besson, ce conte philosophique rapporte l’histoire du survivant d’un incendie planétaire : un arbre qui prend la parole pour transmettre l’histoire de ce qu’il a connu:

"La Terre a été ravagée par le feu. Tout, désormais, est recouvert de cendres et les rares êtres qui subsistent encore n'ont plus grand-chose d'humain.

Seul indice de la splendeur du monde passé, un arbre règne sur les vestiges d'une ville morte. Il est le dernier témoin de ce qu'a été l'humanité et, au milieu du silence, il prend la parole : dans ce monde perdu, il veut sauver ce qui peut encore l'être, et transmettre leur héritage à ces hommes qui n'en sont plus.

En racontant son incroyable destin - indissociable de l'histoire du monde -, l'arbre va tenter de faire comprendre au peuple de cendres ce qu'est la vie et lui rendre ainsi son humanité."

 

En savoir plus sur la bibliographie de l'écrivain DE VILLEPIN ?

Voir SVP article le concernant.










Mme Marie Louise SOCK vient de créer un blog pour l'entreprise " LES LAURIERS" : Management des écoles _ Conseil _ Formation des enseignants.

Si vous désirez le consulter, cliquez sur le lien ci dessous SVP.

   http://leslaurierscosultance.over-blog.com


                                        







Parution le 20 Aout 2009 du nouveau roman de Boubacar Boris Diop.


'Les Petits de la Guenon" est la version française "Doomi Goolo "  publié en 2003 par les éditions Papurus de Seydou Nourou Ndiaye. La version française est l'oeuvre des éditions Philippe Rey (France)

Vous trouverez dans ce blog trois articles sur l'écrivain Boubacar Boris Diop... Bonne lecture...












UNIVERSITE GASTON BERGER DE SAINT LOUIS



 


CENTRE DE RECHERCHES ET DE DOCUMENTATION DU SENEGAL (CRDS)

 

INVITATION

 

 

La Directrice et le personnel du CRDS vous convient à la conférence sur « De l’actualité de la réflexion philosophique », animée par Monsieur Amadou Alpha SY, Ecrivain, professeur de philosophie Conseiller Pédagogique au Pôle de Formation de Saint-Louis.

 

Mercredi 3 juin 2009 à 15h 30

Lycée Ameth FALL

 

 

 

 

 

 Pont FAIDHERBE de Saint Louis


















 









AGENDA LITTERAIRE ET CULTUREL: Festival du conte à Gorée du 10 au 17 Mai

CF. Article

Cf. Programme sur Dakar et Gorée























 Quand le chant de l'oiseau perce dans le silence
Et que pèse sur lui un vide bien réel
Pleure son âme prise à l'étau de l'absence
Recherchant dans les trilles un petit coin de ciel
L'Oiseau
























 SPLEEN...

Parfums capiteux senteurs enivrantes

Images enfouies dans les replis de ma mémoire

Palimpseste

Sur ma table un Christ

Larmes de sang écarlates

Front pâle lèvres exsangues

Attente

Et le temps d’égrener son long chapelet d’ennui

Et le globe de valser

Et moi de tituber d’ivresse

Flirtant avec le vide

Et j’ai crié ton nom

Crié ma peur 

Tandis qu’hurlait l’écho !

 

Dis, sais tu la couleur du vent

Quand souffle le blues ?

LOU




















  " Au plus fort de l'orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer. C'est l'oiseau inconnu. Il chante avant de s'envoler."
Les Matinaux(1950)_ René Char




















   "Comment vivre sans inconnu devant soi?"
Fureur et Mystères(1948), Le poème pulvérisé_ René Char
















 " Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront."
Les Matinaux(1950)_ René Char



















   Je n'ai pas peur, j'ai seulement le vertige. Il me faut réduire la distance entre l'ennemi et moi. L'affronter horizontalement."
Feuilets d'Hypnos(1946)_ René Char




















"Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir."
Feuillets d'Hypnos(1946) René Char
















 " C'est bien la pire peine de ne savoir pourquoi, sans amour et sans haine, mon coeur a tant de peine".
Paul Verlaine











 La croisade des enfants

"Pourra t on un jour vivre sur la terre sans colère, sans mépris, sans chercher ailleurs qu'au fond de son coeur la réponse au mystère de la vie? Dans le ventre de l'univers des milliers d'étoiles naissent et meurent à chaque instant où l'homme apprend la guerre à ses enfants."
Jacques Higelin















" Acculmule puis distribue. Sois la partie du miroir de l'univers la plus dense, la plus utile, la moins apparente."
René Char